Sud-Ouest Best-seller
HELENE PY
MUSIQUE
Ibrahim Ferrer
"Boliviana"
Joif
Avanie à La Havane
Sur Amazon :
« Quand la liberté d'expression est bafouée, qu'il devient une chimère de vivre de son art dans un pays totalitaire et qu'en plus c'est une île, en l'occurrence Cuba, le salut est dans la fuite mais pas n'importe laquelle. Orea, l'héroïne du roman va devoir fuir non seulement son pays mais aussi sa famille, ses amis et trouver un subterfuge pour réellement s'évader. Suivront une série de voyages re-connaissance de son propre pays et découvertes artistiques dans de nombreux autres. L'auteure nous entraîne dans une succession de rencontres avec des créateurs qui ont marqué le milieu des 80' car Orea y participera activement. Ce roman, œuvre d'une plasticienne, est une déclaration d'amour à tous ceux qui se battent pour accomplir leurs rêves à n'importe quel prix.»
Yan Samson
Lire la critique d'Alain "Amoureuse" sur Amazon, une critique comme en rêve tout écrivain. Merci encore à ce lecteur.
Par Shevek sur Babelio
"De La Havane à New-York, j''ai suivi avec bonheur les aventures d'Orea, si vivante cubaine qui s'invente une nouvelle vie au fil de ses pérégrinations. L'écriture de ce livre est savoureuse, parsemée d'un savant métissage de mots rares, d'espagnol et de joual, l'argot québécois. J'en recommande chaleureusement la lecture."
Par Anne du Sud sur Babelio
"Un livre étonnant dont on ne peut oublier les protagonistes. Un style riche, je dirais même éblouissant avec une vraie richesse de vocabulaire. Un livre dont le style tellement étonnant, surprenant, ne peut pas laisser indifférent."
Par Tidjin sur Babelio
"J'ai beaucoup aimé.... un trop plein de vie, d'audace, de curiosité, d'érudition, d'esprit.
L'héroïne est craquante, elle danse sur sa vie comme une flamme. Elle aime à La Havane avec une passion d'adolescente. Elle construit sa vie d'artiste et de femme à New York avec une énergie vitale contagieuse.
On la suit, on l'aime, on y croit... Très fort (émotions), très fin ( influences, rencontres artistiques), très drôle aussi."
Vos lunettes de roman et un café
Un premier roman qui fait figure, comme dans l’art pictural, de « singulier ». Ce n’est pas un roman de fantaisie et pourtant il est fantaisiste jusqu’au bout des ongles, à l’image de son auteure également plasticienne. Ce n’est pas un pur roman d’amour taillé pour les éditions Harlequin et cependant l’histoire d’amour qui le traverse est du domaine de l’intense. Ce n’est pas un thriller et cependant son héroïne alimente un polar qui s’écrit à mesure qu’elle vit. L’auteure avance dans un monde sensuel de couleurs, le monde des sensations de la création picturale. Elle suggère, parce qu’elle aime tout particulièrement ce que disait Matisse: « L’exactitude n’est pas la vérité ». Elle poursuit sur 300 pages une investigation dans l’art: de quelle manière la démarche artistique se vit de l’intérieur, dans la tête et l’âme de sa créatrice et narratrice. Et ce voyage à travers tâtonnements et doutes fait sens. On pourrait donc dire que JOIF est un roman hybride puisque l’auteure y mélange les genres, passant du fictif à la réalité, du baroque au lyrisme avec sa pointe d’excès et de désordre. Une hybridation picturale et musicale par son interaction entre la littérature et l’art. « Les genres littéraires sont des espèces dans le règne littéraire, comme il y a des espèces dans le règne végétal et dans le règne animal ». (Emile Faguet, Revue de Paris, 1985)
Une photo de lectrice de Joif
Au parc John Lennon à La Havane
UNE VIDEO-CADEAU D'UNE AMIE:
Grâce à elle, Joif est parti en bookcrossing à l'île de la réunion.
& sont sur le bateau Babelio...
Joif est inscrit au n°24 sur la liste de Bibalice "Les plus grandes histoires d'amour" entre "L'amant de Lady Chaterterley" de D.H. Lauwrence et "Anna Karénine" de L. Tolstoï:
http://www.babelio.com/liste/2042/Les-plus-grandes-histoires-damour-de-la-litteratu
Et au n°9 sur la liste de Palamède "La mort des livres" "Autodafé":
http://www.babelio.com/liste/3063/La-mort-des-livres
Le thème de l'autodafé est en effet vécu par l'héroïne de mon roman. Le parti révolutionnaire cubain brûle ses toiles sur le parvis de la place de la cathédrale à La Havane parce qu'elles outrepassent la description de l'art prônée par Castro. Ce qui va pousser la rebelle Oréa à quitter Cuba car elle a besoin de liberté d'expression. Mais cela ne va pas sans douleur. Pour cela, le roman est une histoire d'exil, d'art et d'amour car le canadien qui l'aide à sortir de l'île sera aussi le grand amour de sa vie.
"L'autodafé", un terme qui concerne les livres autant que les tableaux car ce que je souligne dans mon roman c'est le "Bûcher des vanités" de G.Savonarole quand il brûla entre autres les Vénus et divinités de Botticelli il y a 500 ans...